Pour Jérémy Frerot, la musique est synonyme de partage. En témoigne sa folle aventure des Fréro Delavega.Puis il y a un repli, celui premier album solo «Matriochka». L’amour, les amis, les emmerdes, ce qu’on lègue aux enfants et ce que l’on apprend sur soi, au fil du temps... Voilà ce dont parle «Meilleure vie», album autoportrait.Face à l’actualité anxiogène, il lui a paru crucial de "raconter du positif". Pour ce, il a fallu revenir à l’acoustique, rajouter de la basse, de la batterie et susciter du groove ! En résulte un chant plus urbain, assorti aux tempos. Si la couleur de l’album ne connait pas de violentes variations mais plutôt de subtiles nuances, elle laisse place à des humeurs et des ressentis distincts. Des chansons nourries de pop comme de sentiments forts, des chansons à partagéer, taillées pour la scène."Je me sens bien dans cet album, je vais le vivre à fond en live". Mais il ne sera pas seul car cette Meilleure Vie est désormais à imaginer ensemble !